BNP Paribas, 1ère banque française et 3ème banque internationale du classement des « 100 entreprises les plus durables au monde »
En 2020, BNP Paribas figure pour la 6ème année consécutive dans le classement exigeant des «...
Dans le cadre d’une reprise d’entreprise, le montage financier est une étape essentielle qui exige de se faire accompagner par des experts. Quatre conseils à suivre.
Tout repreneur d’activité bénéficie d’un business établi, d’une clientèle existante, d’un outil industriel opérationnel, de collaborateurs formés… Autant d’atouts qui peuvent cependant devenir de véritables charges. Avant toute reprise, il est impératif de vérifier que :
Si certaines lacunes apparaissent, elles seront à votre charge et il vous faudra chiffrer ces coûts éventuels.
Pour cela, consultez votre Chambre de commerce et d’industrie (CCI) ou un expert-comptable.
En tant que repreneur d’activité, vous pouvez envisager un rachat avec endettement personnel. Mais, généralement, vous pourrez combiner différentes sources de financement :
d’autres modes de financement, tel que le financement participatif.
Les aides ou subventions dédiées aux repreneurs d’activité sont nombreuses et généralement soumises à des conditions spécifiques. Parmi les plus fréquentes, vous pourrez solliciter :
Retrouvez la liste plus complète de ces aides sur l’Observatoire des Aides aux Entreprises.
Dans tous les cas, l’accompagnement d’un expert en droit fiscal, de votre CCI ou encore d’un expert-comptable sera indispensable pour ne passer à côté d’aucune opportunité.
Si le financement est un point-clé de la reprise, la formation au métier exigeant de chef d’entreprise est en un autre. Elle devra être suivie en amont de la reprise, afin d’apprendre à bâtir un business plan réaliste et solide et de convaincre des financeurs potentiels.
De telles formations sont proposées par les CCI ou bien Pôle Emploi si le repreneur est au chômage.
La transmission d’une activité familiale a un impact fiscal important, tant pour le légataire que pour le repreneur. Elle doit donc s’envisager dans le cadre d’une stratégie patrimoniale. Par exemple, en mettant en place des donations pour réduire la valeur de l’entreprise à transmettre ou en concluant un Pacte Dutreil pour réduire l’assiette des droits de succession ou de donation.
De plus, la transmission à un héritier ne doit pas léser ses frères et sœurs : ceux-ci devront éventuellement être dédommagés.
Votre interlocuteur idéal pour aborder ces points : un notaire, un expert en gestion patrimoniale ou un expert en fiscalité.