Un nouveau mode de travail qui permet d’une part de diversifier les missions des collaborateurs et d’autre part de tester et diffuser de nouvelles pratiques au sein de l’entreprise. Non seulement le collaborateur valorise de nouvelles compétences mais il permet également de réduire considérablement les coûts de prestations extérieures pour son entreprise.
Son plus : apporter du sens aux collaborateurs et au Groupe.
La #tribudesagiles depuis sa création, c'est :
missions réalisées
jours
d'économie
Retour sur une initiative qui dessine les contours d'une nouvelles manière de travailler en entreprise
La tribu rassemble des collaborateurs BNP Paribas ayant un talent particulier qu’ils mettent à disposition du Groupe. Avec l’accord de leurs managers, les collaborateurs dégagent une partie de leur temps de travail pour mettre à profit leur expertise au sein d’autres équipes et entités lors de missions de courte durée (1 jour en moyenne). Une initiative que le Groupe soutient fortement afin de valoriser ses collaborateurs et qui illustre une de ses valeurs clés « Good Place to work » : offrir aux collaborateurs un cadre attractif et stimulant au quotidien, où règnent le respect et l’esprit collectif.
« En 2015 la facilitation graphique était très peu utilisée dans le Groupe. J’étais une pionnière. Créer la #tribudesagiles m’a permis d’institutionnaliser et faire rayonner son utilisation. » explique Céline Pernot-Burlet l’intrapreneure à l’origine du dispositif de la #tribudesagiles. Forte de son succès en France, la #tribudesagiles s’internationalise et intègre un nombre croissant de collaborateurs en Belgique et au Luxembourg.
Découvrez les 5 principes clés au cœur de cette initiative
- 1. Mettre l’économie circulaire au centre
Depuis ses débuts, la #tribudesagiles repose sur un modèle d’économie circulaire où les entités qui libèrent du temps à leurs collaborateurs pour intégrer la tribu bénéficient prioritairement de ses talents. Grâce à ce levier, la tribu s’assure une communauté forte où le partage et l’échange sont la règle.
- 2. Challenger les modèles managériaux
Agilité, adaptabilité et autonomie sont les maîtres-mots de la tribu. L’objectif est clair : simplifier au maximum les procédures pour faire de l’échange de compétences une pratique courante au sein de BNP Paribas. En interne, pas de refacturation et de paperasse. Chaque agile est autonome pour trouver le bon équilibre entre l‘accomplissement de ses missions #tribudesagiles et la réalisation des missions attenantes à son poste de travail.
- 3. Développer les compétences des collaborateurs
A l’ère des slasheurs*, 1 salarié sur 2 se dit prêt à exercer plusieurs métiers en même temps(1). Paradoxalement, beaucoup de salariés considèrent que leurs compétences sont sous-exploitées au sein de leurs entreprises. Fini le temps des profils mono-compétences, bienvenue aux profils atypiques, véritable mine d’or pour les organisations.
- 4. Privilégier l’interne
« Pourquoi chercher des compétences en externe alors qu’elles existent au sein du Groupe ? », répète souvent Céline Pernot-Burlet. Logique mais loin d’être monnaie courante au sein des groupes du CAC 40. Pour beaucoup de slasheurs, la reconnaissance vient d’abord de l’externe avant d’arriver en interne.
- 5. Donner du sens au travail
Avoir le choix de ses missions, c’est faire le choix de l’engagement. L’impact positif fait partie de l’ADN des agiles qui effectuent une majorité de leurs missions autour des thématiques de l’engagement d’entreprise de BNP Paribas. La tribu leur permet de donner du sens à leur travail en mettant/employant leurs compétences au service de l’impact positif. Véritable levier de transformation positive, la #tribudesagiles est en prise directe avec les écosystèmes RSE, engagement et diversité du Groupe BNP Paribas.
*On appelle “slasheurs” des travailleurs qui exercent plusieurs activités, en référence au signe “/” qui sépare les différentes activités quand ils les énumèrent. Les slasheurs sont des travailleurs qui ne se reconnaissent pas dans le choix d’une voie unique. Ils sont davantage généralistes et polyvalents que spécialistes d’un sujet.
(1) Enquête du 28 au 3 septembre auprès d'un échantillon de 130 000 internautes inscrits sur sa plateforme de meteojob et représentatifs de la population active française.