BNP PARIBAS AU DEUXIEME TRIMESTRE 2004 :
- résultat brut d'exploitation : 1 903 M d'euros (+ 7,2%)
- résultat d'exploitation : 1 688 M d'euros (+ 15,9%)
- résultat net part du groupe : 1 352 M d'euros (+ 49,9%)
- forte progression des résultats de chacun des pôles d'activité
PREMIER SEMESTRE 2004 :
* Forte augmentation de la rentabilité :
- ROE annualisé : 18,5% (+ 4,5 points)
* Croissance organique soutenue :
- actifs moyens pondérés : + 12,4%
- amélioration des positions compétitives dans les grands métiers
* Acquisitions significatives :
- accords conclus pour près de 2 milliards d'euros depuis le début de l'année
***
Le 30 juillet 2004, le Conseil d'administration de BNP Paribas, réuni sous la Présidence de Michel Pébereau, a examiné les résultats du groupe pour le deuxième trimestre de l'année ainsi que les comptes du semestre.
DES RESULTATS EN FORTE CROISSANCE.
Au deuxième trimestre 2004, la reprise économique s'est confirmée, plus forte aux Etats-Unis qu'en Europe, avec pour corollaire une hausse des taux à long terme et une stabilisation du dollar par rapport à l'euro. Les marchés boursiers ont consolidé leur remontée de l'année 2003 sans marquer de nouveaux progrès.
BNP Paribas tire parti de cet environnement inégal et réalise un produit net bancaire trimestriel de 4 743 millions d'euros, en hausse de 2,0% par rapport à celui du deuxième trimestre 2003. Cette hausse des recettes s'accompagne d'une baisse des frais de gestion : - 1,3% par rapport au deuxième trimestre 2003.
Le résultat brut d'exploitation est ainsi porté à 1 903 millions d'euros, en hausse de 7,2% par rapport au deuxième trimestre 2003. Le coefficient d'exploitation, en amélioration de 1,9 point à 59,9%, est le meilleur jamais atteint par le groupe.
La charge de provisionnement (215 millions d'euros) est inférieure de 32,4% à celle du deuxième trimestre 2003.
Le résultat d'exploitation du trimestre s'établit ainsi à 1 688 millions d'euros, en hausse de 15,9% par rapport au deuxième trimestre 2003.
Des cessions de participations industrielles, conformément à la politique du groupe, assurent une hausse des gains sur titres (207 millions d'euros) par rapport au deuxième trimestre 2003 (104 millions d'euros).
L'impôt sur les sociétés s'inscrit en retrait sensible (- 16%) par rapport au deuxième trimestre 2003. Ce dernier avait subi l'impact exceptionnel de l'adoption par Klepierre du statut fiscal de société d'investissement immobilier cotée. En outre, la cession de Cobepa au deuxième trimestre 2004 a eu pour effet de réduire fortement l'impôt sur les plus-values pour l'ensemble du semestre. Le résultat net part du groupe, à 1 352 millions d'euros, est en très forte hausse (+ 49,9%).
La rentabilité annualisée des capitaux propres s'établit à 18,5% sur l'ensemble du premier semestre.
Tous les pôles d'activité du groupe contribuent à cette performance et enregistrent une forte progression de leur résultat.
Consulter les états financiers (lien inactif)
Consulter les diapositives de la présentation (lien inactif)
Lire le communiqué de presse (lien inactif)
- résultat brut d'exploitation : 1 903 M d'euros (+ 7,2%)
- résultat d'exploitation : 1 688 M d'euros (+ 15,9%)
- résultat net part du groupe : 1 352 M d'euros (+ 49,9%)
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PREMIER SEMESTRE 2004 :
* Forte augmentation de la rentabilité :
- ROE annualisé : 18,5% (+ 4,5 points)
* Croissance organique soutenue :
- actifs moyens pondérés : + 12,4%
- amélioration des positions compétitives dans les grands métiers
* Acquisitions significatives :
- accords conclus pour près de 2 milliards d'euros depuis le début de l'année
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Le 30 juillet 2004, le Conseil d'administration de BNP Paribas, réuni sous la Présidence de Michel Pébereau, a examiné les résultats du groupe pour le deuxième trimestre de l'année ainsi que les comptes du semestre.
DES RESULTATS EN FORTE CROISSANCE.
Au deuxième trimestre 2004, la reprise économique s'est confirmée, plus forte aux Etats-Unis qu'en Europe, avec pour corollaire une hausse des taux à long terme et une stabilisation du dollar par rapport à l'euro. Les marchés boursiers ont consolidé leur remontée de l'année 2003 sans marquer de nouveaux progrès.
BNP Paribas tire parti de cet environnement inégal et réalise un produit net bancaire trimestriel de 4 743 millions d'euros, en hausse de 2,0% par rapport à celui du deuxième trimestre 2003. Cette hausse des recettes s'accompagne d'une baisse des frais de gestion : - 1,3% par rapport au deuxième trimestre 2003.
Le résultat brut d'exploitation est ainsi porté à 1 903 millions d'euros, en hausse de 7,2% par rapport au deuxième trimestre 2003. Le coefficient d'exploitation, en amélioration de 1,9 point à 59,9%, est le meilleur jamais atteint par le groupe.
La charge de provisionnement (215 millions d'euros) est inférieure de 32,4% à celle du deuxième trimestre 2003.
Le résultat d'exploitation du trimestre s'établit ainsi à 1 688 millions d'euros, en hausse de 15,9% par rapport au deuxième trimestre 2003.
Des cessions de participations industrielles, conformément à la politique du groupe, assurent une hausse des gains sur titres (207 millions d'euros) par rapport au deuxième trimestre 2003 (104 millions d'euros).
L'impôt sur les sociétés s'inscrit en retrait sensible (- 16%) par rapport au deuxième trimestre 2003. Ce dernier avait subi l'impact exceptionnel de l'adoption par Klepierre du statut fiscal de société d'investissement immobilier cotée. En outre, la cession de Cobepa au deuxième trimestre 2004 a eu pour effet de réduire fortement l'impôt sur les plus-values pour l'ensemble du semestre. Le résultat net part du groupe, à 1 352 millions d'euros, est en très forte hausse (+ 49,9%).
La rentabilité annualisée des capitaux propres s'établit à 18,5% sur l'ensemble du premier semestre.
Tous les pôles d'activité du groupe contribuent à cette performance et enregistrent une forte progression de leur résultat.
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