Dans le cadre de son soutien à la préservation et à la valorisation des collections publiques, la Fondation BNP Paribas apporte son appui à la restauration des dessins de Charles Garnier et s'associe à la double exposition que lui consacre l'Ecole nationale supérieure des beaux-arts de Paris.
Si BNP Paribas est aujourd'hui une banque leader en Europe et d'envergure mondiale présente dans plus de quatre-vingts pays, ses origines remontent à l'époque qui vit la construction de l'Opéra Garnier, comme elles se confondent avec le quartier de l'Opéra qui abrite nombre de ses immeubles historiques toujours en activité. Ainsi de l'ancien siège du Comptoir National d'Escompte de Paris, rue Bergère, étonnant vestige de l'architecture post-haussmannienne classé monument historique.
BNP Paribas descend en droite ligne de banques créées par des entrepreneurs éclairés du XIXe siècle. Parmi ceux-ci figurait Raphaël-Louis Bischoffsheim, qui confia la construction de sa maison de Bordighera, en Italie, à Charles Garnier. A travers sa Fondation, BNP Paribas développe depuis de nombreuses années des actions de mécénat. La Fondation s'attache à préserver les œuvres conservées dans les collections publiques en France et à l'étranger. C'est donc tout naturellement qu'à travers la restauration des dessins de Charles Garnier, elle s'est associée à la double exposition que lui consacre l'Ecole nationale supérieure des beaux-arts dont il fut l'un des brillants élèves.
Comparé fréquemment aux plus grands artistes de la Renaissance pour la diversité de ses talents, Charles Garnier symbolise presque à lui seul tout l'art du Second Empire. L'Opéra Garnier, qui ne fut achevé que sous la Troisième République, est considéré comme le chef-d'œuvre de l'architecture de son temps. C'est aussi l'un des premiers et rares bâtiments de l'histoire à porter le nom de son auteur.
La personnalité de l'architecte oscille entre raison et fantaisie, à l'image des édifices qu'il construit, parmi lesquels l'Opéra et le Casino de Monte-Carlo ou l'Observatoire de Nice. A partir d'un fonds exceptionnel de dessins d'architecture et de caricatures, de peintures et photographies, cette double exposition s'attache à dessiner le portrait intime de l'artiste. Scénographiée par Robert Carsen, l'un des metteurs en scène d'opéra les plus renommés, «Charles Garnier, un architecte pour un Empire» (du 26 octobre 2010 au 9 janvier 2011, galeries d'exposition, 13 quai Malaquais) devrait permettre aux visiteurs de mieux comprendre l'œuvre de l'artiste, tandis que « L'œil et la plume » (du 26 octobre 2010 au 30 janvier 2011 au cabinet des dessins Jean Bonna) révèlera ses talents de caricaturiste.
Préserver et faire connaitre les richesses des musees
Mécène fidèle et reconnu des musées, la Fondation BNP Paribas s'attache à préserver et faire connaître leurs richesses. C'est ainsi qu'elle apporte son soutien à la publication d'ouvrages sur les collections permanentes des musées et à la restauration de leurs chefs-d'œuvre à travers le programme BNP Paribas pour l'Art.
« BNP Paribas pour l'Art »
Restaurer des œuvres abritées dans les musées pour préserver, mettre en valeur et faire découvrir ce patrimoine, tel est l'objet du programme BNP Paribas pour l'Art lancé en 1994.
En seize ans, ce programme a permis la restauration de plus de deux cents œuvres couvrant toutes les périodes de l'histoire de l'art et conservées dans les plus prestigieux musées et monuments français parmi lesquels le Château de Versailles (plafond peint par François Lemoyne dans le Salon d'Hercule), le Centre Georges Pompidou (My Flower Bed de Yayoi Kusama) ou encore le musée d'Orsay (la collection de pastels). Ce programme bénéficie également aux musées en régions comme par exemple le musée des Augustins de Toulouse (statue représentant une Vierge à l'Enfant du XVe siècle, Nostre Dame de Grasse), le musée de l'Abbaye Sainte-Croix des Sables d'Olonne (collection Gaston Chaissac) ou encore le musée des Beaux-Arts de Quimper (restauration en cours de la collection de peintures italiennes anciennes).
Attachée à accompagner le développement du groupe BNP Paribas à l'international, la Fondation BNP Paribas multiplie, depuis 2004, ses interventions auprès de grands musées internationaux comme le Städel Museum de Francfort en Allemagne (Triptyque de la Vierge de Macrino d'Alba), l'Art Gallery New South Wales de Sydney en Australie (The Boar Hunt de Franz Snyders), l'Art Gallery of Ontario au Canada (Jar of Apricots de Jean-Baptiste Chardin), le Musée Byzantin et Chrétien d'Athènes en Grèce (dix fresques d'époque post-byzantine), le Van Loon Museum d'Amsterdam aux Pays-Bas (six panneaux peints par Jurriaan Andriessen), la Galerie Tretiakov de Moscou en Russie (Triptyque Les Baigneuses de Natalia Gontcharova), le futur musée de la mosaïque d'Alexandrie en Egypte (avec la restauration en cours de mosaïques antiques retrouvées à Alexandrie) ou encore le Peranakan Museum de Singapour avec la restauration d'une nappe brodée de perles datant du début du XXe siècle.
A propos de la Fondation BNP Paribas
Placée sous l'égide de la Fondation de France, la Fondation BNP Paribas s'attache à préserver et faire connaître les richesses des musées, à encourager des créateurs et interprètes dans des disciplines peu aidées par le mécénat d'entreprise et à financer des programmes de recherche médicale dans des secteurs de pointe. La Fondation BNP Paribas soutient par ailleurs des projets en faveur de l'éducation, de l'insertion et du handicap. Référent en matière de mécénat au sein du groupe, en liaison étroite avec l'ensemble de ses réseaux en France et à l'étranger, la Fondation BNP Paribas développe ses programmes en accompagnant chacun de ses partenaires dans la durée.
www.mecenat.bnpparibas.com
L'ensemble des actions du groupe BNP Paribas en matière de responsabilité sociale fait l'objet d'une information régulièrement mise à jour sur le site pourunmondequichange.com
Si BNP Paribas est aujourd'hui une banque leader en Europe et d'envergure mondiale présente dans plus de quatre-vingts pays, ses origines remontent à l'époque qui vit la construction de l'Opéra Garnier, comme elles se confondent avec le quartier de l'Opéra qui abrite nombre de ses immeubles historiques toujours en activité. Ainsi de l'ancien siège du Comptoir National d'Escompte de Paris, rue Bergère, étonnant vestige de l'architecture post-haussmannienne classé monument historique.
BNP Paribas descend en droite ligne de banques créées par des entrepreneurs éclairés du XIXe siècle. Parmi ceux-ci figurait Raphaël-Louis Bischoffsheim, qui confia la construction de sa maison de Bordighera, en Italie, à Charles Garnier. A travers sa Fondation, BNP Paribas développe depuis de nombreuses années des actions de mécénat. La Fondation s'attache à préserver les œuvres conservées dans les collections publiques en France et à l'étranger. C'est donc tout naturellement qu'à travers la restauration des dessins de Charles Garnier, elle s'est associée à la double exposition que lui consacre l'Ecole nationale supérieure des beaux-arts dont il fut l'un des brillants élèves.
Comparé fréquemment aux plus grands artistes de la Renaissance pour la diversité de ses talents, Charles Garnier symbolise presque à lui seul tout l'art du Second Empire. L'Opéra Garnier, qui ne fut achevé que sous la Troisième République, est considéré comme le chef-d'œuvre de l'architecture de son temps. C'est aussi l'un des premiers et rares bâtiments de l'histoire à porter le nom de son auteur.
La personnalité de l'architecte oscille entre raison et fantaisie, à l'image des édifices qu'il construit, parmi lesquels l'Opéra et le Casino de Monte-Carlo ou l'Observatoire de Nice. A partir d'un fonds exceptionnel de dessins d'architecture et de caricatures, de peintures et photographies, cette double exposition s'attache à dessiner le portrait intime de l'artiste. Scénographiée par Robert Carsen, l'un des metteurs en scène d'opéra les plus renommés, «Charles Garnier, un architecte pour un Empire» (du 26 octobre 2010 au 9 janvier 2011, galeries d'exposition, 13 quai Malaquais) devrait permettre aux visiteurs de mieux comprendre l'œuvre de l'artiste, tandis que « L'œil et la plume » (du 26 octobre 2010 au 30 janvier 2011 au cabinet des dessins Jean Bonna) révèlera ses talents de caricaturiste.
Préserver et faire connaitre les richesses des musees
Mécène fidèle et reconnu des musées, la Fondation BNP Paribas s'attache à préserver et faire connaître leurs richesses. C'est ainsi qu'elle apporte son soutien à la publication d'ouvrages sur les collections permanentes des musées et à la restauration de leurs chefs-d'œuvre à travers le programme BNP Paribas pour l'Art.
« BNP Paribas pour l'Art »
Restaurer des œuvres abritées dans les musées pour préserver, mettre en valeur et faire découvrir ce patrimoine, tel est l'objet du programme BNP Paribas pour l'Art lancé en 1994.
En seize ans, ce programme a permis la restauration de plus de deux cents œuvres couvrant toutes les périodes de l'histoire de l'art et conservées dans les plus prestigieux musées et monuments français parmi lesquels le Château de Versailles (plafond peint par François Lemoyne dans le Salon d'Hercule), le Centre Georges Pompidou (My Flower Bed de Yayoi Kusama) ou encore le musée d'Orsay (la collection de pastels). Ce programme bénéficie également aux musées en régions comme par exemple le musée des Augustins de Toulouse (statue représentant une Vierge à l'Enfant du XVe siècle, Nostre Dame de Grasse), le musée de l'Abbaye Sainte-Croix des Sables d'Olonne (collection Gaston Chaissac) ou encore le musée des Beaux-Arts de Quimper (restauration en cours de la collection de peintures italiennes anciennes).
Attachée à accompagner le développement du groupe BNP Paribas à l'international, la Fondation BNP Paribas multiplie, depuis 2004, ses interventions auprès de grands musées internationaux comme le Städel Museum de Francfort en Allemagne (Triptyque de la Vierge de Macrino d'Alba), l'Art Gallery New South Wales de Sydney en Australie (The Boar Hunt de Franz Snyders), l'Art Gallery of Ontario au Canada (Jar of Apricots de Jean-Baptiste Chardin), le Musée Byzantin et Chrétien d'Athènes en Grèce (dix fresques d'époque post-byzantine), le Van Loon Museum d'Amsterdam aux Pays-Bas (six panneaux peints par Jurriaan Andriessen), la Galerie Tretiakov de Moscou en Russie (Triptyque Les Baigneuses de Natalia Gontcharova), le futur musée de la mosaïque d'Alexandrie en Egypte (avec la restauration en cours de mosaïques antiques retrouvées à Alexandrie) ou encore le Peranakan Museum de Singapour avec la restauration d'une nappe brodée de perles datant du début du XXe siècle.
A propos de la Fondation BNP Paribas
Placée sous l'égide de la Fondation de France, la Fondation BNP Paribas s'attache à préserver et faire connaître les richesses des musées, à encourager des créateurs et interprètes dans des disciplines peu aidées par le mécénat d'entreprise et à financer des programmes de recherche médicale dans des secteurs de pointe. La Fondation BNP Paribas soutient par ailleurs des projets en faveur de l'éducation, de l'insertion et du handicap. Référent en matière de mécénat au sein du groupe, en liaison étroite avec l'ensemble de ses réseaux en France et à l'étranger, la Fondation BNP Paribas développe ses programmes en accompagnant chacun de ses partenaires dans la durée.
www.mecenat.bnpparibas.com
L'ensemble des actions du groupe BNP Paribas en matière de responsabilité sociale fait l'objet d'une information régulièrement mise à jour sur le site pourunmondequichange.com