Ce programme, doté de 3 millions d'euros répartis sur 3 ans, a pour objectif d'aider la création d'emplois et de lien social dans les quartiers sensibles, ainsi que l'accompagnement scolaire aux enfants en difficultés. Il repose sur un partenariat étroit entre BNP Paribas, à travers sa Fondation placée sous l'égide de la Fondation de France, et le monde associatif. Il implique également une concertation avec les collectivités territoriales concernées. Il bénéficiera en outre des connaissances de collaborateurs de la banque concernant les questions d'intégration et les problèmes des zones urbaines sensibles.
BNP Paribas a décidé de contribuer à l'effort collectif aujourd'hui nécessaire en faveur des banlieues et de leur avenir. Fortement présent en périphérie des grandes agglomérations BNP Paribas possède une bonne connaissance des banlieues : la banque dispose par exemple de 56 agences en Seine-Saint-Denis et figure, au travers de sa direction informatique, parmi les employeurs importants de ce département. BNP Paribas s'est engagé en faveur de l'intégration en signant la Charte de la Diversité et, de même que ses filiales telles que Cetelem, compte dans ses rangs de nombreux collaborateurs issus de l'immigration. Le Groupe intervient déjà, depuis plus de dix ans, auprès d'associations nationales dont l'action en faveur de l'emploi et de l'intégration est reconnue. C'est en particulier le cas de l'Adie, association qui aide par le microcrédit les chômeurs et RMIstes à créer leur entreprise, et de l'AFEV, association qui mobilise des étudiants bénévoles en faveur des élèves des écoles et des collèges en difficultés. BNP Paribas a constamment réaffirmé et renforcé, ces dernières années, son soutien à ces deux associations, tant à travers sa Fondation que, dans le cas de l'Adie, en nouant un véritable partenariat bancaire destiné à faciliter l'accueil des créateurs sur le terrain et en affectant à leurs projets une ligne de crédit de 4 millions d'euros. Le Groupe s'est également engagé aux côtés de Fête le Mur, l'association de Yannick Noah qui anime déjà une vingtaine de zones urbaines sensibles grâce au tennis, et a participé à la naissance de la Fondation du Sport, qui développe notamment des partenariats entre le secteur public, le secteur privé et le monde associatif en faveur de l'insertion par le sport.
Le « Projet Banlieues » de BNP Paribas : une entreprise s'engage.
BNP Paribas a décidé de créer un « Projet Banlieues » doté de moyens nouveaux, en plus des initiatives déjà prises par le groupe en faveur de l'emploi et de l'intégration. Ce projet s'appuiera sur l'expérience et les relations du groupe auprès du monde associatif, ainsi que sur des idées concrètes apportées par des collaborateurs.
Le « Projet Banlieues » disposera d'un budget de 1 million d'euros par an sur trois ans. Il sera placé sous l'égide de la Fondation BNP Paribas et coordonné par sa déléguée générale Martine Tridde-Mazloum. Son animation sera confiée à Michel Passant, cadre dirigeant de la banque de détail et futur jeune retraité, qui s'est toujours fortement impliqué dans des activités associatives. Il sera appuyé par Nabila Chibane, une collaboratrice volontaire issue de l'Atelier, la cellule de veille technologique de BNP Paribas. L'entreprise mobilisera ses connaissances de terrain pour faire remonter et sélectionner les projets les plus adaptés.
Un projet qui comporte trois grands volets :
1. Soutien au développement économique et à la création d'activités (environ 650 000 euros / an)
Ce volet s'inscrit dans le prolongement du partenariat existant depuis plus de dix ans avec l'Adie. Il lui permettra de créer six antennes de microcrédit dans des quartiers sensibles, choisis après concertation avec les directeurs de groupes d'agences de BNP Paribas et les pouvoirs publics. L'Adie a en effet une expérience réussie du microcrédit dans les banlieues, mais son intervention ne couvre actuellement que 10% des ZUS (Zones urbaines sensibles) existant aujourd'hui en France. BNP Paribas prendra en charge les frais de fonctionnement de chaque antenne et créera un fonds de prêts d'honneur permettant d'apporter, en plus du microcrédit classique, une dotation en quasi-fonds propres qui constitue bien souvent une nécessité lorsque le créateur est totalement démuni. Des retraités de BNP Paribas pourront être mobilisés pour renforcer le dispositif d'accompagnement des créateurs. Au total, le projet devrait permettre la création et l'accompagnement d'environ 700 micro-entreprises en banlieue.
2. Accompagnement scolaire (150 000 euros / an)
BNP Paribas soutient depuis une dizaine d'années l'AFEV, association qui mobilise actuellement 5 000 étudiants investis dans l'accompagnement scolaire d'enfants en difficultés. L'AFEV suit actuellement près de 10 000 jeunes, avec un taux de succès élevé : La plupart des élèves soutenus par l'AFEV parviennent à sortir de la situation d'échec scolaire dans laquelle ils étaient initialement. L'AFEV travaille en étroite liaison avec la délégation interministérielle à la ville et plus de 90% de ses fonds proviennent de partenaires publics ou d'organismes sociaux. Depuis dix ans la Fondation BNP Paribas fait partie des rares partenaires privés qui soutiennent l'AFEV. Le groupe a complété son engagement financier par des interventions locales originales menées par les responsables du marché des jeunes, en faveur des étudiants bénévoles de l'AFEV, notamment à Lille à Toulouse. Dans le cadre de son « Projet Banlieues », BNP Paribas accordera à l'AFEV une subvention annuelle de 150 000 euros qui lui permettra de recruter 5 permanents supplémentaires pour encadrer 500 étudiants effectuant un accompagnement scolaire dans des quartiers sensibles, et l'aidera à étendre son action dans un domaine aujourd'hui non traité mais considéré comme essentiel, celui des écoles maternelles. Au total, ce dispositif permettra à l'AFEV de prendre en charge l'accompagnement scolaire de plus de 1 000 élèves supplémentaires. Le développement de nouvelles coopérations sur le terrain entre l'AFEV et le réseau BNP Paribas sera, en outre, étudié.
3. Initiatives locales (200 000 euros / an)
De nombreuses associations locales se sont créées dans les quartiers, afin de développer l'activité économique, d'aider l'insertion des jeunes et de créer du lien social. Souvent, une aide de 4 ou 5 000 euros et l'ouverture de quelques portes peut apporter une aide décisive à ces associations. C'est pourquoi l'équipe du « Projet Banlieues » sera chargée, avec l'aide des collaborateurs de BNP Paribas sur le terrain et des pouvoirs publics, d'identifier et de sélectionner de tels projets. Cette aide pourra également concerner des initiatives prises directement par des établissements scolaires.
BNP Paribas a décidé de contribuer à l'effort collectif aujourd'hui nécessaire en faveur des banlieues et de leur avenir. Fortement présent en périphérie des grandes agglomérations BNP Paribas possède une bonne connaissance des banlieues : la banque dispose par exemple de 56 agences en Seine-Saint-Denis et figure, au travers de sa direction informatique, parmi les employeurs importants de ce département. BNP Paribas s'est engagé en faveur de l'intégration en signant la Charte de la Diversité et, de même que ses filiales telles que Cetelem, compte dans ses rangs de nombreux collaborateurs issus de l'immigration. Le Groupe intervient déjà, depuis plus de dix ans, auprès d'associations nationales dont l'action en faveur de l'emploi et de l'intégration est reconnue. C'est en particulier le cas de l'Adie, association qui aide par le microcrédit les chômeurs et RMIstes à créer leur entreprise, et de l'AFEV, association qui mobilise des étudiants bénévoles en faveur des élèves des écoles et des collèges en difficultés. BNP Paribas a constamment réaffirmé et renforcé, ces dernières années, son soutien à ces deux associations, tant à travers sa Fondation que, dans le cas de l'Adie, en nouant un véritable partenariat bancaire destiné à faciliter l'accueil des créateurs sur le terrain et en affectant à leurs projets une ligne de crédit de 4 millions d'euros. Le Groupe s'est également engagé aux côtés de Fête le Mur, l'association de Yannick Noah qui anime déjà une vingtaine de zones urbaines sensibles grâce au tennis, et a participé à la naissance de la Fondation du Sport, qui développe notamment des partenariats entre le secteur public, le secteur privé et le monde associatif en faveur de l'insertion par le sport.
Le « Projet Banlieues » de BNP Paribas : une entreprise s'engage.
BNP Paribas a décidé de créer un « Projet Banlieues » doté de moyens nouveaux, en plus des initiatives déjà prises par le groupe en faveur de l'emploi et de l'intégration. Ce projet s'appuiera sur l'expérience et les relations du groupe auprès du monde associatif, ainsi que sur des idées concrètes apportées par des collaborateurs.
Le « Projet Banlieues » disposera d'un budget de 1 million d'euros par an sur trois ans. Il sera placé sous l'égide de la Fondation BNP Paribas et coordonné par sa déléguée générale Martine Tridde-Mazloum. Son animation sera confiée à Michel Passant, cadre dirigeant de la banque de détail et futur jeune retraité, qui s'est toujours fortement impliqué dans des activités associatives. Il sera appuyé par Nabila Chibane, une collaboratrice volontaire issue de l'Atelier, la cellule de veille technologique de BNP Paribas. L'entreprise mobilisera ses connaissances de terrain pour faire remonter et sélectionner les projets les plus adaptés.
Un projet qui comporte trois grands volets :
1. Soutien au développement économique et à la création d'activités (environ 650 000 euros / an)
Ce volet s'inscrit dans le prolongement du partenariat existant depuis plus de dix ans avec l'Adie. Il lui permettra de créer six antennes de microcrédit dans des quartiers sensibles, choisis après concertation avec les directeurs de groupes d'agences de BNP Paribas et les pouvoirs publics. L'Adie a en effet une expérience réussie du microcrédit dans les banlieues, mais son intervention ne couvre actuellement que 10% des ZUS (Zones urbaines sensibles) existant aujourd'hui en France. BNP Paribas prendra en charge les frais de fonctionnement de chaque antenne et créera un fonds de prêts d'honneur permettant d'apporter, en plus du microcrédit classique, une dotation en quasi-fonds propres qui constitue bien souvent une nécessité lorsque le créateur est totalement démuni. Des retraités de BNP Paribas pourront être mobilisés pour renforcer le dispositif d'accompagnement des créateurs. Au total, le projet devrait permettre la création et l'accompagnement d'environ 700 micro-entreprises en banlieue.
2. Accompagnement scolaire (150 000 euros / an)
BNP Paribas soutient depuis une dizaine d'années l'AFEV, association qui mobilise actuellement 5 000 étudiants investis dans l'accompagnement scolaire d'enfants en difficultés. L'AFEV suit actuellement près de 10 000 jeunes, avec un taux de succès élevé : La plupart des élèves soutenus par l'AFEV parviennent à sortir de la situation d'échec scolaire dans laquelle ils étaient initialement. L'AFEV travaille en étroite liaison avec la délégation interministérielle à la ville et plus de 90% de ses fonds proviennent de partenaires publics ou d'organismes sociaux. Depuis dix ans la Fondation BNP Paribas fait partie des rares partenaires privés qui soutiennent l'AFEV. Le groupe a complété son engagement financier par des interventions locales originales menées par les responsables du marché des jeunes, en faveur des étudiants bénévoles de l'AFEV, notamment à Lille à Toulouse. Dans le cadre de son « Projet Banlieues », BNP Paribas accordera à l'AFEV une subvention annuelle de 150 000 euros qui lui permettra de recruter 5 permanents supplémentaires pour encadrer 500 étudiants effectuant un accompagnement scolaire dans des quartiers sensibles, et l'aidera à étendre son action dans un domaine aujourd'hui non traité mais considéré comme essentiel, celui des écoles maternelles. Au total, ce dispositif permettra à l'AFEV de prendre en charge l'accompagnement scolaire de plus de 1 000 élèves supplémentaires. Le développement de nouvelles coopérations sur le terrain entre l'AFEV et le réseau BNP Paribas sera, en outre, étudié.
3. Initiatives locales (200 000 euros / an)
De nombreuses associations locales se sont créées dans les quartiers, afin de développer l'activité économique, d'aider l'insertion des jeunes et de créer du lien social. Souvent, une aide de 4 ou 5 000 euros et l'ouverture de quelques portes peut apporter une aide décisive à ces associations. C'est pourquoi l'équipe du « Projet Banlieues » sera chargée, avec l'aide des collaborateurs de BNP Paribas sur le terrain et des pouvoirs publics, d'identifier et de sélectionner de tels projets. Cette aide pourra également concerner des initiatives prises directement par des établissements scolaires.