ALTEDIA et BNP Paribas Epargne Entreprise présentent " Tendances Epargne Entreprise 2003 ", la deuxième édition de l'étude d'opinions comparatives des dirigeants d'entreprises et des salariés sur le thème de l'épargne entreprise.
La notoriété, la légitimité et l'intérêt pour l'épargne entreprise, déjà constatés en 2002, sont largement confirmés en 2003, tant chez les dirigeants que chez les salariés.
Sur le choix des placements, plus encore qu'en 2002, les dirigeants pensent d'abord sécurité, alors que les salariés donnent la priorité aux actions.
L'actionnariat salarié garde le vent en poupe malgré la conjoncture boursière.
Au coeur de l'actualité, le problème des retraites incite à de nouveaux comportements d'épargne, de préférence dans le cadre de l'entreprise.
Les dirigeants d'entreprises apparaissent moins hostiles à un rôle accru des syndicats dans l'univers de l'épargne entreprise.
La faveur montante de l'épargne entreprise
Epargner dans l'entreprise apparaît encore plus légitime en 2003 qu'en 2002.
85 % dirigeants et 67% des salariés considèrent qu'il est naturel de pouvoir placer ses économies dans un système d'épargne entreprise.
Comme il y a un an, la première des motivations reste financière : constitution d'une épargne, rémunération différée avec avantages fiscaux, épargne pour la retraite. L'épargne entreprise est aussi considérée comme un facteur de motivation pour plus de la moitié des salariés et pour 3 dirigeants sur 4.
Des salariés plus téméraires que ne le pensent les dirigeants
Comme en 2002, l'enquête démontre que les dirigeants discernent mal les préférences des salariés en matière de placements : ils surestiment l'intérêt du personnel pour les placements sécuritaires et sous-estiment son appétence pour les actions de son entreprise. Or la conjoncture dégradée des marchés financiers n'a guère entamé l'intérêt des salariés pour les placements en actions, en particulier en actions de leur entreprise (52 % soit 2 % de mieux qu'en 2001).
La bonne résistance de l'actionnariat salarié
Plus de 8 dirigeants sur 10 pensent que c'est une bonne chose pour l'entreprise d'avoir des salariés actionnaires. 58 % des salariés adhèrent à la démarche, pourcentage en recul de seulement 9 points par rapport à 2002 dans un contexte boursier chahuté.
La retraite à l'ordre du jour
La moitié des salariés ne parviennent pas à évaluer ce que représentera leur retraite en proportion de leur dernier salaire.
Un sur deux est par ailleurs prêt à changer ses habitudes d'épargne personnelle pour préparer cette échéance. Quant au type d'épargne recherché, 44 % choisiraient un système dans le cadre de leur entreprise, 38 % hors de l'entreprise (18 % d'indécis).
Une plus grande ouverture des dirigeants en faveur des syndicats
Une des surprises de l'enquête : les dirigeants d'entreprises ne sont plus aussi opposés qu'en 2002 à l'accroissement du rôle des syndicats dans la gestion de l'épargne entreprise (+ 8 %) et la représentation des actionnaires salariés (+ 11 %), même si plus de 60 % n'y sont toujours pas favorables.
Toujours une forte demande d'information
Malgré une légère tendance à la progression enregistrée depuis un an, les salariés se disent en majorité insuffisamment informés des dispositifs d'épargne entreprise, ce dont ont également conscience les dirigeants d'entreprises.
Ils sont en priorité demandeurs de réunions d'information sur leur lieu de travail et de plaquettes.
Enquête réalisée par interviews, du 18 avril au 25 mai 2003, auprès d'un échantillon représentatif de 200 dirigeants et 382 salariés d'entreprises de 50 salariés et plus.
La notoriété, la légitimité et l'intérêt pour l'épargne entreprise, déjà constatés en 2002, sont largement confirmés en 2003, tant chez les dirigeants que chez les salariés.
Sur le choix des placements, plus encore qu'en 2002, les dirigeants pensent d'abord sécurité, alors que les salariés donnent la priorité aux actions.
L'actionnariat salarié garde le vent en poupe malgré la conjoncture boursière.
Au coeur de l'actualité, le problème des retraites incite à de nouveaux comportements d'épargne, de préférence dans le cadre de l'entreprise.
Les dirigeants d'entreprises apparaissent moins hostiles à un rôle accru des syndicats dans l'univers de l'épargne entreprise.
La faveur montante de l'épargne entreprise
Epargner dans l'entreprise apparaît encore plus légitime en 2003 qu'en 2002.
85 % dirigeants et 67% des salariés considèrent qu'il est naturel de pouvoir placer ses économies dans un système d'épargne entreprise.
Comme il y a un an, la première des motivations reste financière : constitution d'une épargne, rémunération différée avec avantages fiscaux, épargne pour la retraite. L'épargne entreprise est aussi considérée comme un facteur de motivation pour plus de la moitié des salariés et pour 3 dirigeants sur 4.
Des salariés plus téméraires que ne le pensent les dirigeants
Comme en 2002, l'enquête démontre que les dirigeants discernent mal les préférences des salariés en matière de placements : ils surestiment l'intérêt du personnel pour les placements sécuritaires et sous-estiment son appétence pour les actions de son entreprise. Or la conjoncture dégradée des marchés financiers n'a guère entamé l'intérêt des salariés pour les placements en actions, en particulier en actions de leur entreprise (52 % soit 2 % de mieux qu'en 2001).
La bonne résistance de l'actionnariat salarié
Plus de 8 dirigeants sur 10 pensent que c'est une bonne chose pour l'entreprise d'avoir des salariés actionnaires. 58 % des salariés adhèrent à la démarche, pourcentage en recul de seulement 9 points par rapport à 2002 dans un contexte boursier chahuté.
La retraite à l'ordre du jour
La moitié des salariés ne parviennent pas à évaluer ce que représentera leur retraite en proportion de leur dernier salaire.
Un sur deux est par ailleurs prêt à changer ses habitudes d'épargne personnelle pour préparer cette échéance. Quant au type d'épargne recherché, 44 % choisiraient un système dans le cadre de leur entreprise, 38 % hors de l'entreprise (18 % d'indécis).
Une plus grande ouverture des dirigeants en faveur des syndicats
Une des surprises de l'enquête : les dirigeants d'entreprises ne sont plus aussi opposés qu'en 2002 à l'accroissement du rôle des syndicats dans la gestion de l'épargne entreprise (+ 8 %) et la représentation des actionnaires salariés (+ 11 %), même si plus de 60 % n'y sont toujours pas favorables.
Toujours une forte demande d'information
Malgré une légère tendance à la progression enregistrée depuis un an, les salariés se disent en majorité insuffisamment informés des dispositifs d'épargne entreprise, ce dont ont également conscience les dirigeants d'entreprises.
Ils sont en priorité demandeurs de réunions d'information sur leur lieu de travail et de plaquettes.
Enquête réalisée par interviews, du 18 avril au 25 mai 2003, auprès d'un échantillon représentatif de 200 dirigeants et 382 salariés d'entreprises de 50 salariés et plus.