Synthèse de l'étude :
2003 a été marquée par la sécheresse et les températures extrêmes qui ont engendré des récoltes atypiques.
La tendance de long terme reste l'internalisation des marchés notamment dans le domaine du vin, où les prix baissent. Dans ces conditions, seules les grandes appellations justifient encore les prix de foncier atteints et les vignobles de moindre niveau pourraient affronter pour leur part une correction significative.
Après les tempêtes de 2000, le marché du bois se reprend, en se préparant à la concurrence des productions américaines et chiliennes. Le foncier forestier connaît une hausse très nette depuis 5 ans, surtout pour les forêts bâties, notamment en raison également de l'ouverture des marchés et du statut fiscal avantageux qui attire de plus en plus les grands patrimoines.
Les domaines agricoles voient leurs prix soutenus par une demande non professionnelle, notamment pour les terrains proches des centres urbains et des zones touristiques ou frontalières.
Enfin, les propriétés d'agrément ayant connu une hausse rapide des prix, certains parlent actuellement de bulle spéculative, alimentée par les achats des citadins. Or, fin 2003, la solvabilité des acquéreurs a paru toucher sa limite et le rythme des transactions a brutalement chuté. La sélectivité devient plus forte et la demande se concentre sur l'île de France, la Provence et le littoral méditerranéen. Autre type de propriété très recherchée, les domaines de chasse, qui attirent une clientèle de passionnés, souvent d'origine étrangère, principalement en Sologne.
Ainsi ces marchés caractérisés par l'ouverture sont confrontés à deux tendances concomitantes : l'internalisation des demandes et l'arrivée croissante des urbains qui modifient les repères de ces marchés. Dans tous ces secteurs, il existe et il existera toujours des opportunités à saisir mais, désormais, leur sélection exige un effort d'analyse beaucoup plus fin pour garantir le bon choix.
Le foncier rural correspond aujourd'hui à 7% environ des patrimoines privés.
La France est par ailleurs le premier vignoble du monde, le premier pays d'Europe en foret de feuillus et le 2nd exportateur de produits agricoles.
Chaque année, 1,5% des surfaces changent de main, soit 500 000 ha, pour un montant global de 7,5 Mds d'€.
Cela est lié au fait que le foncier national est de bonne qualité et très peu cher comparé à nos voisins européens d'une part et d'autre part qu'il bénéficie d'un régime fiscal avantageux (transmissions et ISF).
A propos d'Agri France
Au sein de la Banque Privée, dans le cadre d'une approche patrimoniale globale, Agri France conseille ses clients dans leur diversification en foncier rural. Elle les assiste dans l'estimation, les transactions et la gestion de bien ruraux. Agri France a déployé un réseau de correspondants régionaux, agronomes, forestiers, ... tous "homme de l'art" dans leur spécialité.
Vignobles, forets, domaines agricoles, châteaux, chasses et propriétés d'agrément constituent des éléments de stabilité. Par leur réaction contra cyclique aux mouvements financiers, ils permettent d'équilibrer les risques des investissements.
Outre l'approche financière, l'ingénierie patrimoniale de la banque, avec un dispositif à Paris, et dans les 8 régions de France, ainsi que sur les principales places financières mondiales (Suisse, Luxembourg, Italie, Espagne, mais aussi, Hong Kong et Singapour) propose notamment aux clients de diversifier leur patrimoine. Agri France, mais aussi la structure d'investissement en oeuvre d'art ou celle spécialisée en immobilier citadin de prestige, offrent aux clients d'investir dans des placements associant plaisir et rentabilité.
2003 a été marquée par la sécheresse et les températures extrêmes qui ont engendré des récoltes atypiques.
La tendance de long terme reste l'internalisation des marchés notamment dans le domaine du vin, où les prix baissent. Dans ces conditions, seules les grandes appellations justifient encore les prix de foncier atteints et les vignobles de moindre niveau pourraient affronter pour leur part une correction significative.
Après les tempêtes de 2000, le marché du bois se reprend, en se préparant à la concurrence des productions américaines et chiliennes. Le foncier forestier connaît une hausse très nette depuis 5 ans, surtout pour les forêts bâties, notamment en raison également de l'ouverture des marchés et du statut fiscal avantageux qui attire de plus en plus les grands patrimoines.
Les domaines agricoles voient leurs prix soutenus par une demande non professionnelle, notamment pour les terrains proches des centres urbains et des zones touristiques ou frontalières.
Enfin, les propriétés d'agrément ayant connu une hausse rapide des prix, certains parlent actuellement de bulle spéculative, alimentée par les achats des citadins. Or, fin 2003, la solvabilité des acquéreurs a paru toucher sa limite et le rythme des transactions a brutalement chuté. La sélectivité devient plus forte et la demande se concentre sur l'île de France, la Provence et le littoral méditerranéen. Autre type de propriété très recherchée, les domaines de chasse, qui attirent une clientèle de passionnés, souvent d'origine étrangère, principalement en Sologne.
Ainsi ces marchés caractérisés par l'ouverture sont confrontés à deux tendances concomitantes : l'internalisation des demandes et l'arrivée croissante des urbains qui modifient les repères de ces marchés. Dans tous ces secteurs, il existe et il existera toujours des opportunités à saisir mais, désormais, leur sélection exige un effort d'analyse beaucoup plus fin pour garantir le bon choix.
Le foncier rural correspond aujourd'hui à 7% environ des patrimoines privés.
La France est par ailleurs le premier vignoble du monde, le premier pays d'Europe en foret de feuillus et le 2nd exportateur de produits agricoles.
Chaque année, 1,5% des surfaces changent de main, soit 500 000 ha, pour un montant global de 7,5 Mds d'€.
Cela est lié au fait que le foncier national est de bonne qualité et très peu cher comparé à nos voisins européens d'une part et d'autre part qu'il bénéficie d'un régime fiscal avantageux (transmissions et ISF).
A propos d'Agri France
Au sein de la Banque Privée, dans le cadre d'une approche patrimoniale globale, Agri France conseille ses clients dans leur diversification en foncier rural. Elle les assiste dans l'estimation, les transactions et la gestion de bien ruraux. Agri France a déployé un réseau de correspondants régionaux, agronomes, forestiers, ... tous "homme de l'art" dans leur spécialité.
Vignobles, forets, domaines agricoles, châteaux, chasses et propriétés d'agrément constituent des éléments de stabilité. Par leur réaction contra cyclique aux mouvements financiers, ils permettent d'équilibrer les risques des investissements.
Outre l'approche financière, l'ingénierie patrimoniale de la banque, avec un dispositif à Paris, et dans les 8 régions de France, ainsi que sur les principales places financières mondiales (Suisse, Luxembourg, Italie, Espagne, mais aussi, Hong Kong et Singapour) propose notamment aux clients de diversifier leur patrimoine. Agri France, mais aussi la structure d'investissement en oeuvre d'art ou celle spécialisée en immobilier citadin de prestige, offrent aux clients d'investir dans des placements associant plaisir et rentabilité.