BNP Paribas et le Crédit Agricole ont signé une lettre d'intention afin de créer une plate-forme informatique commune pour assurer le traitement de la conservation des titres dans les activités de Banque de détail et de Banque privée. Une filiale sera constituée pour exploiter et faire évoluer cette plate-forme. Elle sera détenue et gérée à parité par les deux groupes.
Il s'agit d'un projet d'importance stratégique, tant par l'envergure des deux partenaires que par son contenu. Il prévoit, en effet, la mise en commun des systèmes applicatifs (informatiques) de production de BNP Paribas et du Crédit Agricole :
· pour la tenue de compte Titres (comptabilité Titres client, comptabilité Titres générale, applications des coupons et des opérations sur Titres, fiscalité revenus et plus-values)
· pour le routage des ordres à exécuter vers les brokers français ou étrangers
· pour la tenue des carnets d'ordres associés aux différentes filières d'opérations (Bourse France, Bourse Etrangère, OPCVM internes et externes, TCN, MONEP, )
Les deux groupes ont choisi de retenir les applicatifs existants du Crédit Agricole (SCT BRUNOY) comme base commune de développement pour la future plate-forme. L'accord prévoit également la mise en commun des équipes chargées de définir (Maîtrise d'ouvrage), de développer (Maîtrise d'oeuvre) et de piloter l'exploitation des systèmes informatiques. Les activités de back office ont, elles, vocation à rester de la responsabilité de chacun des partenaires.
Le projet d'accord fera l'objet d'une consultation des comités d'entreprises et devrait être signé en octobre 2001. La filiale devrait démarrer ses travaux de développements informatiques dès le début de l'année 2002 afin que la plate-forme commune soit pleinement opérationnelle courant 2004.
Le partenariat, BNP Paribas - Crédit Agricole, doit permettre aux deux premières entreprises bancaires françaises d'accroître encore leur capacité en termes de performance, de réactivité et de coût. Il permet aux deux partenaires de franchir une étape essentielle en termes de qualité du service offert à leur clientèle de Banque de détail et de Banque privée en France.
Avec 6,5 millions de comptes titres et près de 3 000 milliards de francs de conservation gérés sur cette plate-forme, les deux partenaires réunis disposeront très largement de la taille critique nécessaire dans cette activité et peuvent ainsi envisager de façon ambitieuse les prochains investissements dans " l'européanisation " de cette activité.
Il s'agit d'un projet d'importance stratégique, tant par l'envergure des deux partenaires que par son contenu. Il prévoit, en effet, la mise en commun des systèmes applicatifs (informatiques) de production de BNP Paribas et du Crédit Agricole :
· pour la tenue de compte Titres (comptabilité Titres client, comptabilité Titres générale, applications des coupons et des opérations sur Titres, fiscalité revenus et plus-values)
· pour le routage des ordres à exécuter vers les brokers français ou étrangers
· pour la tenue des carnets d'ordres associés aux différentes filières d'opérations (Bourse France, Bourse Etrangère, OPCVM internes et externes, TCN, MONEP, )
Les deux groupes ont choisi de retenir les applicatifs existants du Crédit Agricole (SCT BRUNOY) comme base commune de développement pour la future plate-forme. L'accord prévoit également la mise en commun des équipes chargées de définir (Maîtrise d'ouvrage), de développer (Maîtrise d'oeuvre) et de piloter l'exploitation des systèmes informatiques. Les activités de back office ont, elles, vocation à rester de la responsabilité de chacun des partenaires.
Le projet d'accord fera l'objet d'une consultation des comités d'entreprises et devrait être signé en octobre 2001. La filiale devrait démarrer ses travaux de développements informatiques dès le début de l'année 2002 afin que la plate-forme commune soit pleinement opérationnelle courant 2004.
Le partenariat, BNP Paribas - Crédit Agricole, doit permettre aux deux premières entreprises bancaires françaises d'accroître encore leur capacité en termes de performance, de réactivité et de coût. Il permet aux deux partenaires de franchir une étape essentielle en termes de qualité du service offert à leur clientèle de Banque de détail et de Banque privée en France.
Avec 6,5 millions de comptes titres et près de 3 000 milliards de francs de conservation gérés sur cette plate-forme, les deux partenaires réunis disposeront très largement de la taille critique nécessaire dans cette activité et peuvent ainsi envisager de façon ambitieuse les prochains investissements dans " l'européanisation " de cette activité.